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| Sujet: 10 Octobre 2006 : BVA | BFM | Les Echos-Akerys Mar 10 Oct - 14:35 | |
| Royal devant DSK et Fabius sur l'économie dans un sondage Ségolène Royal devance ses deux concurrents socialistes sur les enjeux économiques de la campagne présidentielle de 2007, selon la baromètre économique BVA-BFM-Les Echos-Akerys. Sauf sur la fiscalité et la réduction de la dette, où Dominique Strauss-Kahn fait presque jeu égal avec elle, la présidente de la région Poitou-Charentes l'emporte à chaque fois nettement sur les deux ex-ministres des Finances. Ainsi, 42% des personnes interrogées lui font confiance pour la création d'emplois, contre 22% pour "DSK" et 11% en faveur de l'ex-Premier ministre Laurent Fabius. Ce rapport de forces est identique pour les retraites (39% contre 23% et 12%), la financement de l'assurance maladie (38% contre 24% et 12%), le pouvoir d'achat (39% contre 23% et 13%) et la fusion GDF-Suez. Sources : http://www.boursier.com/vals/all/royal-devant-dsk-et-fabius-sur-l-economie-dans-un-sondage-feed-16465.htm | |
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| Sujet: 10 Octobre 2006 | BVA pour Les Echos | BFM | Akerys Mer 11 Oct - 19:02 | |
| Enjeux économiques : Royal plus crédible que ses concurrents du PSLes conclusions du baromètre mensuel BVA-« Les Echos »-BFM-Akerys sont sans appel. La présidente de Poitou-Charentes écrase Dominique Strauss-Kahn et Laurent Fabius sur tous les grands sujets économiques. Elle n'a jamais été ministre de l'Economie ou de l'Emploi et pourtant Ségolène Royal écrase Dominique Strauss-Kahn et Laurent Fabius sur toutes les questions économiques et sociales du moment. C'est l'enseignement du baromètre réalisé ce mois-ci par BVA pour « Les Echos », BFM et Akerys. Le mois dernier, nous avions testé les thématiques jugées majeures par les Français pour la campagne présidentielle. C'est sur ces mêmes enjeux que la cote de « confiance » des trois postulants à l'investiture socialiste a été évaluée. Ségolène Royal l'emporte chaque fois et l'écart moyen avec Dominique Strauss-Kahn (qui arrive en deuxième position) est de 22 points chez les sympathisants socialistes. Il dépasse même 30 points sur les créations d'emplois, première préoccupation des Français, de gauche comme de droite. Même sur des sujets sur lesquels la présidente de Poitou-Charentes s'est peu exprimée, tel le financement de l'assurance-maladie, l'écart est notable. « C'est un réflexe qui relève presque de la foi », note Gaël Sliman, directeur adjoint de BVA Opinion. « Pas de mal à fédérer » Si Dominique Strauss-Kahn se maintient, c'est grâce à sa cote auprès des sympathisants de la droite parlementaire. Sur tous les enjeux, ces derniers lui font plus confiance que les électeurs socialistes et la confiance dont il jouit progresse parallèlement au revenu des ménages. Les seules questions sur lesquelles il rivalise avec Ségolène Royal auprès de l'électorat PS sont la fiscalité et, dans une moindre mesure, la réduction de la dette. Les résultats de l'enquête sont particulièrement rudes pour Laurent Fabius. Lui qui se veut « le candidat du pouvoir d'achat » et qui a proposé d'augmenter le SMIC de 100 euros dès 2007 est bon dernier sur ce sujet comme sur les autres. Les sympathisants d'extrême gauche et du PCF font plus confiance à Ségolène Royal qu'à lui sur ce sujet (44 %, contre 25 %). Il en est de même pour les ouvriers (47 %, contre un peu plus de 13 %). « Elle bénéficie d'une image beaucoup plus gauchère que droitière, ce qui ne pourra que lui être profitable avant le choix des militants socialistes », analyse Gaël Sliman. Même si elle est devancée par DSK dans l'électorat de droite, la présidente de Poitou-Charentes n'y suscite pas pour autant de rejet : « Elle a un profil de candidat de premier tour qui n'aurait pas de mal à fédérer au second », poursuit-il. Sur la durée du travail, elle devance DSK auprès des sympathisants de droite et du PS et Laurent Fabius auprès des électeurs d'extrême gauche (45 % contre 24 %). Une façon de fédérer des aspirations contradictoires qui pourrait ne pas durer : « Il sera difficile de ne pas décevoir les uns ou les autres lorsqu'elle devra plus clairement prendre position sur chacun des grands sujets », conclut le directeur adjoint de BVA Opinion. Sources : http://www.lesechos.fr/info/france/4482506.htm | |
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